Maitrisez votre stress avec les enseignements des philosophes
Les responsabilités des dirigeants génèrent parfois du stress. Je vous propose d’aborder cette thématique, souvent explorée lors des séances de coaching de dirigeants, sous un angle philosophique.
Les réflexions philosophiques sur les éléments déclencheurs du stress sont nombreuses, et les conseils qu’elles offrent peuvent s’avérer puissants pour nous aider à mieux le maîtriser.
Avant d’explorer les astuces transmises depuis plusieurs siècles, je vous invite tout d’abord à établir un lien entre notre cerveau et les mécanismes qui déclenchent ce stress.
Ces mécanismes sont parfaitement illustrés par Sonia Lupien, neuroscientifique renommée, dans son ouvrage Pour l’amour du stress. Elle y explique que le stress, bien qu’essentiel à notre survie, influence profondément notre perception du monde et notre réaction aux événements. Pour mieux comprendre ce phénomène, elle introduit l’acronyme CINÉ, qui met en évidence les quatre facteurs susceptibles de provoquer du stress chez les individus :
- C : sentiment de perte de contrôle sur une situation
- I : imprévisibilité des événements
- N : nouveauté qui nous déstabilise
- É : atteinte de notre Ego qui touche à l’estime de soi
Qu’est-ce qui génère le plus de stress chez vous ? L’impression de perdre le contrôle, l’incertitude face à l’avenir, la confrontation à la nouveauté ou encore la menace pesant sur votre ego ?
Pour mieux comprendre et déconstruire votre propre CINÉ, je vous invite à lire l’article Maîtrisez votre stress avec les enseignements des neurosciences.
À l’instar de Sonia Lupien, Spinoza affirme que « comprendre les mécanismes de déclenchement de notre stress permet de ne plus le subir ». Selon lui, le stress naît de notre réaction aux forces extérieures dont nous ignorons les causes. Il propose une approche rationnelle : en identifiant l’origine de nos peurs, nous pouvons mieux les apprivoiser et ainsi réduire notre stress.
« Une émotion qui est une passion cesse d’être une passion dès que nous en formons une idée claire et distincte. »
Aujourd’hui, à travers cet article, je souhaite explorer les facteurs déclencheurs du stress à la lumière des enseignements des philosophes. Je vous proposerai d’une part un rappel des principales réflexions sur le sujet et, d’autre part, des astuces pratiques pour mieux gérer votre stress.
Regards philosophiques sur les 4 facteurs déclencheurs du stress
Le sentiment de perte de contrôle est l’un des facteurs pouvant générer du stress. Dès que vous avez l’impression qu’une situation vous échappe, qu’elle ne dépend plus vraiment de vous et que vous n’avez aucun pouvoir d’action, le stress peut surgir.
Vous vous demandez peut-être ce qui va advenir de cette nouvelle mission ou quelles décisions vont vous imposer les actionnaires… Ou encore, vous ressentez de l’anxiété lorsque vous êtes sur le siège passager et que votre conjoint conduit—vous préféreriez être au volant ?
Dans ces situations, l’absence de contrôle peut être perçue comme stressante, selon votre point de vue.
La question de la peur du contrôle à l’origine du stress a été abordée par plusieurs philosophes sous différents angles, notamment en lien avec la liberté, l’angoisse et la maîtrise de soi. Voici quelques perspectives philosophiques pertinentes :
-Les Stoïciens : lâcher prise sur ce qui échappe à notre contrôle
Les philosophes stoïciens comme Épictète et Marc Aurèle insistent sur l’idée que le stress naît souvent de notre attachement à vouloir contrôler ce qui ne dépend pas de nous.
Épictète écrit :
« Il y a des choses qui dépendent de nous, et d’autres qui n’en dépendent pas. »
Lâcher prise sur ce qui échappe à notre pouvoir permettrait donc de réduire le stress et d’atteindre une forme de sérénité.
-Schopenhauer et l’illusion du contrôle
Pour Arthur Schopenhauer, notre souffrance (et donc notre stress) vient de la volonté insatiable de vouloir maîtriser le monde et d’éviter la souffrance. Cependant, cette volonté est vaine car nous sommes soumis à des forces qui nous dépassent. Il propose une forme de détachement inspirée du bouddhisme pour éviter cette illusion du contrôle.
Les philosophes convergent sur l’idée que le stress lié à la peur du contrôle peut être atténué par le lâcher-prise (stoïcisme), l’acceptation de notre liberté (Sartre), le détachement des illusions (Schopenhauer) ou la compréhension rationnelle des causes (Spinoza).
- L’Imprévisibilité est un autre stresseur. Pour certain ce qui leur arrive subitement est source de stress. L’imprévisibilité peut prendre la forme, par exemple, d’un nouvel élément à intégrer à votre rapport, ou une demande d’intervention au pied levé en réunion de comité exécutif ?
Le caractère imprévisible des choses est une idée qui a été abordée par plusieurs philosophes à travers les siècles et analysée sous différents angles : comme une condition inhérente à la vie humaine, comme une source d’angoisse, mais aussi comme une opportunité pour l’existence authentique et la créativité.
- Heraclite philosophe de l’école d’Éphèse (philosophie présocratique), a insisté sur le caractère fluctuant et changeant de l’univers. Selon lui, le changement constant et l’imprévisibilité sont des aspects essentiels de la réalité. Il est célèbre pour sa pensée selon laquelle « On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve », ce qui souligne l’imprévisibilité et l’inconstance des événements.
« Tout coule, tout change, tout est en mouvement. »
- Jean-Paul Sartre (Philosophie Existentialiste), l’imprévisibilité des événements reflète la liberté humaine. L’homme est toujours confronté à l’incertitude, et chaque acte qu’il fait est une projection dans l’inconnu. Dans le cadre de son existentialisme, il souligne que la liberté humaine implique de prendre des décisions sans la garantie de savoir ce que l’avenir nous réserve. L’imprévisibilité est à la fois une source d’angoisse et une occasion de choisir.
« L’existence précède l’essence »
Cela signifie que l’être humain est toujours dans un état d’incertitude quant à son futur et que son essence est construite au fur et à mesure de ses choix dans ce contexte imprévisible.
- Martin Heidegger (Philosophie phénoménologique), voit l’imprévisibilité comme un élément constitutif de l’être-au-monde. L’homme est « jeté » dans un monde qu’il n’a pas choisi et dans lequel il ne peut pas tout contrôler. L’imprévisibilité fait partie de ce que Heidegger appelle l’angoisse existentielle, un sentiment face à l’inconnu et aux limites humaines. Il suggère que, bien que l’imprévisibilité de l’existence crée de l’angoisse, elle peut aussi mener à une forme d’authenticité en nous confrontant à notre finitude.
« L’homme est un être jeté dans l’existence, toujours confronté à l’imprévisible. »
Conclusion
L’imprévisibilité des choses est perçue différemment selon les philosophes, mais elle est souvent considérée comme une composante fondamentale de l’existence humaine. Que ce soit comme une source d’angoisse (Kierkegaard, Heidegger), un défi à surmonter (Nietzsche, Sartre), ou une caractéristique naturelle de l’univers (Heraclite, Lao Tseu), l’imprévisibilité incite les individus à développer une résilience et à vivre de manière plus authentique, en acceptant le flux constant de la vie sans chercher à la maîtriser totalement.
- La nouveauté peut parfois nous déstabiliser et être perçue comme une forme de menace par votre cerveau, qui déclenche alors des hormones de stress pour vous permettre d’agir et de vous préparer à ce « danger ». Par exemple, ce nouveau logiciel ou ce nouveau manager vous inquiètent ? Vous n’êtes pas à l’aise quand vous devez conduire pour la première fois un projet complètement inconnu ?
Le caractère nouveau des choses peut générer du stress chez les individus en raison du manque de repères. Différents philosophes ont réfléchi à cette question sous divers angles : l’angoisse face à l’inconnu, la nécessité de s’adapter au changement ou encore la manière dont la nouveauté stimule ou paralyse notre esprit.
- Bergson : L’adaptation au flux du temps
Henri Bergson explique que notre esprit est souvent stressé par la nouveauté parce qu’il cherche à figer la réalité dans des concepts fixes, alors que la vie est un flux perpétuel.
Il nous invite à cultiver une intuition dynamique pour mieux nous adapter aux transformations du monde et ainsi réduire le stress face à l’inconnu.
- Heidegger : L’ouverture à l’être et la confrontation à l’angoisse
Pour Martin Heidegger, la nouveauté et l’incertitude rappellent à l’individu qu’il est confronté à sa propre finitude. Cette prise de conscience peut être source de stress, mais aussi un appel à vivre de manière plus authentique.
« L’angoisse ouvre l’être humain à son existence la plus propre. »
Ainsi, plutôt que de fuir l’inconnu, il faut l’affronter pour mieux se comprendre soi-même.
Conclusion
Kierkegaard montre que la nouveauté provoque de l’angoisse car elle nous confronte à l’inconnu. Nietzsche invite à accepter le changement comme une opportunité de croissance. Bergson propose de s’adapter au flux de la réalité plutôt que de vouloir tout contrôler. Heidegger voit dans l’angoisse une ouverture vers une existence plus authentique.
En somme, les philosophes montrent que le stress face à la nouveauté peut être transformé en opportunité de dépassement, à condition d’adopter une attitude de confiance plutôt que de crainte.
- C’est parfois l’Ego qui se sentant menacé est à l’origine de notre stress. Par ex, vous avez peur d’être ridicule lors de cette présentation en public. Si vous manquez cette promotion, au fond vous êtes mal à l’aise vis-à-vis de vos pairs ou de vos proches ? Ou encore vous aimeriez avoir le dernier mot pour que votre idée soit retenue. Dans ces exemples c’est l’égo qui est menacé et incite votre cerveau à produire des hormones du stress pour vous préparer à agir et à défendre celui-ci.
L’Ego est un concept qui a été largement exploré par les philosophes à travers les âges, chacun ayant une perspective unique sur son rôle et son impact sur l’individu. Voici quelques pensées clés sur l’égo provenant de différentes traditions philosophiques :
- Bouddhisme
Le bouddhisme enseigne que l’Ego (ou atman) est une illusion. Selon cette philosophie, l’attachement à l’ego et à l’identité personnelle est une cause fondamentale de la souffrance.
« Le moi est une illusion. Il est l’illusion de la permanence dans le changement. »
Cela souligne l’idée que l’Ego est une construction mentale temporaire et transitoire.
- Martin Heidegger (Philosophie existentialiste et phénoménologique)
Heidegger distingue l’Ego de l’être authentique. Il considère que l’égo moderne est une forme de masque qui nous empêche de vivre authentiquement. Selon lui, nous devons dépasser cet Ego superficiel pour nous reconnecter à notre être profond et à notre existence véritable.
« L’homme est un être qui s’oublie dans l’oubli de son être. »
Conclusion :
L’Ego est perçu de manière complexe et multidimensionnelle à travers les philosophies. Tandis que certains comme Nietzsche et Sartre prônent son dépassement ou sa réinvention, d’autres comme Descartes et Heidegger le considèrent comme un point de départ pour la réflexion et l’existence authentique. Le bouddhisme, quant à lui, voit l’Ego comme une illusion à dissoudre pour atteindre un état de paix intérieure.
Les philosophes s’accordent sur un point : bien que l’Ego puisse être une force motrice dans la construction de l’identité, sa gestion est cruciale pour éviter qu’il ne devienne une source de souffrance.
Astuces concrètes pour déjouer les 4 facteurs déclencheurs du stress
Pour réduire votre sentiment de perte de contrôle
Accepter ce qui ne dépend pas de vous (Stoïcisme – Épictète, Sénèque)
Problème : Le stress vient souvent de la volonté de tout contrôler.
Conseil : Accepter qu’il y ait des choses qui nous échappent et recentrer son énergie sur ce qui est à notre portée.
✅ Actions :
- Listez ce sur quoi vous n’avez aucune prise et agissez sur votre zone d’influence
- Identifiez ce qui est essentiel à votre existence et éliminez le superflu en vous posant la question : « Ce sujet vaut-il vraiment la peine que j’y consacre de l’énergie ? »
Rappelez-vous de la citation d’Epictète « il y a des choses qui dépendent de nous, et d’autres qui n’en dépendent pas. »
Développer une attitude détachée face aux événements (Scepticisme – Pyrrhon, Montaigne)
Problème : Nous attribuons trop d’importance à nos perceptions immédiates, ce qui renforce notre sentiment d’impuissance.
Conseil : Adopter une posture de doute bienveillant et se rappeler que notre vision des choses est toujours subjective.
✅ Actions :
- Lorsque vous vous sentez dépassé, demandez-vous : « Et si mon interprétation était erronée ? »
- Pratiquez la suspension du jugement avant de réagir à une situation stressante.
Se détacher des désirs excessifs et de l’attachement matériel (Bouddhisme – Siddhartha Gautama)
Problème : Nous souffrons parce que nous voulons posséder, contrôler ou conserver ce qui nous semble essentiel.
Conseil : Pratiquer le détachement et se recentrer sur l’instant présent plutôt que sur la peur de perdre.
✅ Actions :
- Faites l’inventaire de ce à quoi vous vous attachez excessivement et demandez-vous : « Suis-je réellement libre si cela me contrôle ? »
- Intégrez la méditation dans votre quotidien pour renforcer votre capacité à lâcher prise.
Transformer la nécessité en vertu (Spinoza – Philosophie de la joie et du déterminisme)
Problème : Nous nous révoltons contre les événements au lieu de les comprendre et de les accepter.
Conseil : Voir chaque situation comme une nécessité à intégrer, plutôt qu’une injustice à subir.
✅ Actions :
- Reformulez vos pensées négatives en acceptant que ce qui arrive devait arriver : « Ceci est ainsi, comment puis-je en tirer parti ? »
- Identifiez comment chaque contrainte peut devenir une opportunité d’apprentissage.
Pour réduire votre peur de l’incertitude
Vivre l’instant présent (Bouddhisme, Taoïsme – Lao Tseu, Tchouang-Tseu)
Problème : L’anxiété naît de projections dans un futur incertain.
Conseil : Se recentrer sur l’instant présent et ne pas anticiper inutilement.
✅ Actions :
- Cesser de tout anticiper.
- Concentrez-vous sur ce que vous pouvez faire ici et maintenant.
- Rappelez-vous qu’il est inutile de commencer à régler un problème qui n’existe pas encore ! (Et qui ne sera jamais comme vous l’aviez anticipé)
Faire de l’incertitude une opportunité (Existentialisme – Sartre, Camus)
Problème : L’inconnu est perçu comme une menace.
Conseil : Le considérer comme une chance de créer et d’explorer de nouvelles possibilités.
✅ Actions :
- Voyez chaque incertitude comme une occasion de croissance.
- Prenez des décisions en vous basant sur vos valeurs plutôt que sur la peur.
Relativiser (Scepticisme – Pyrrhon, Montaigne)
Problème : La certitude est une illusion, et s’y accrocher fragilise.
Conseil : Adopter une posture de doute bienveillant pour mieux accepter le changement.
✅ Actions :
- Posez-vous la question : « Et si je me trompais ? »
- Acceptez que la vérité est souvent nuancée.
Rappelez-vous de la citation d’Héraclite : « Tout coule, tout change, tout est en mouvement. »
Pour réduire votre peur de la nouveauté
Cultiver son agilité mentale (Bergson)
Problème : L’esprit humain cherche à figer la réalité, ce qui crée une résistance au changement.
Conseil : Adopter une approche flexible et ouverte.
✅ Actions :
- Pratiquez le « Test & Learn » : expérimentez au lieu d’attendre la perfection.
- Encouragez l’improvisation et la curiosité pour mieux naviguer dans l’inconnu.
Revenir à l’essentiel (Heidegger)
Problème : La nouveauté peut désorienter et faire perdre ses repères.
Conseil : Rester connecté à ses valeurs profondes pour éviter la panique.
✅ Actions :
- Clarifiez votre mission et filtrez les distractions.
- Prenez du recul avant de réagir à un changement.
Transformer l’angoisse en défi (Nietzsche – Amor Fati)
Problème : L’inconnu génère de l’anxiété.
Conseil : Le voir comme une opportunité de dépassement.
✅ Actions :
- Reformulez votre peur en question : « Quelle opportunité cette situation m’apporte-t-elle ? »
- Intégrez le changement comme une réalité inévitable et préparez-vous en amont.
Rappelez-vous de la citation de Marc Aurèle : « Le changement n’est pas à craindre, car rien ne peut arriver sans lui. »
Pour maîtriser votre Ego
Pratiquer le détachement (Stoïcisme – Épictète, Marc Aurèle)
Problème : L’Ego s’attache aux désirs et attentes extérieures.
Conseil : Se concentrer sur ce qui dépend réellement de nous.
✅ Actions :
- Apprenez à lâcher prise sur ce qui ne vous appartient pas.
- Développez une discipline intérieure pour moins dépendre des regards extérieurs.
Accepter l’impermanence (Bouddhisme – Siddhartha Gautama)
Problème : La peur de perdre ce que l’on possède ou croit être.
Conseil : Intégrer le fait que tout est en perpétuel changement.
✅ Actions :
- Méditez sur la nature éphémère des choses.
- Acceptez que tout évolue, y compris votre propre identité.
Cultiver l’autodérision (Socrate, Montaigne)
Problème : L’Ego se prend trop au sérieux et se rigidifie.
Conseil : Apprendre à rire de soi-même pour alléger la pression.
✅ Actions :
- Remettez en question vos certitudes avec humour.
- Ne vous attachez pas trop à une image figée de vous-même.
Servir une cause plus grande que soi (Humanisme – Spinoza, Camus)
Problème : L’Ego est plus vulnérable quand il est centré sur lui-même.
Conseil : Se consacrer à des actions qui dépassent notre simple intérêt personnel.
✅ Actions :
- Engagez-vous dans un projet qui contribue à quelque chose de plus vaste.
- Redéfinissez vos ambitions en fonction de leur impact sur les autres.
Rappelez-vous de la citation de Socrate : « Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien. »
En synthèse les 5 clés philosophiques à retenir pour mieux gérer son stress
1️⃣ Se concentrer sur ce qui dépend de nous (Épictète, Marc Aurèle) : Distinguez ce que vous pouvez contrôler et lâchez prise sur le reste.
2️⃣ Accepter l’impermanence (Héraclite, Bouddhisme) : Tout change en permanence, apprenez à vous adapter plutôt qu’à résister.
3️⃣ Remettre en question ses certitudes (Pyrrhon, Montaigne) : Adoptez une posture de doute bienveillant pour relativiser vos peurs et assouplir votre esprit.
4️⃣ Transformer les obstacles en opportunités (Nietzsche, Spinoza) : Chaque difficulté est une occasion de grandir et d’évoluer.
5️⃣ Pratiquer le détachement de l’ego (Socrate, Bouddha) : Moins vous vous identifiez à votre statut ou à vos possessions, plus vous trouverez la sérénité.
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Sandrine Saliba est Coach Exécutif Sénior certifiée Master Coach Certified (MCC) par la Fédération Internationale de Coaching (ICF) et Senior Practitioner par l’EMCC. Elle est également formatrice au métier de Coach (RNCP et niv 2), Mentor et Superviseur de coach accrédité ESIA.
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